7 français sur 10 feront leurs achats de Noël sur Internet

Les ventes en ligne durant la période des fêtes devraient franchir le cap des 10 milliards d’euros, contre 9 milliards l’an dernier, estime la Fédération de l’e-commerce et de la vente à distance (Fevad). Pour ce Noël 2013, 85% des français prévoient de préparer leurs achats en ligne et 69% ont l’intention d’y effectuer leurs achats, selon une étude réalisée par Médiamétrie Net Ratings. Internet devrait représenter à lui seul 60% du montant total des achats réalisés pendant cette période. Chaque français y dépensera en moyenne près de 200 euros. Dans certains secteurs, les achats en ligne seront particulièrement prisés, tels les livres (54% des achats), les jeux et jouets (48%, +4 points par rapport à 2012), ou encore les CD (47%, +7 points) et DVD (44%).

Les mobinautes apprécient les sites télé et radio

Les mobinautes ont profité de la rentrée pour revenir en force sur les sites de médias et d’actualité, révèle l’étude
Mediamétrie sur l’audience de l’Internet mobile. Les sites et applications mobiles de la catégorie médias TV-Radio enregistrent en septembre un million de mobinautes supplémentaires, soit 8,1 millions au total. France Télévisions est en tête de cette catégorie, avec 1,922 million de visiteurs uniques par mois. Trois médias se placent dans les vingt premiers sites mobiles (L’internaute.com, Le Parisien et Le Monde). En revanche, en ce qui concerne les applis, L’Equipe est le seul média représenté dans le Top 20, à la 17e place, avec 1,508 million de visiteurs uniques mensuels.

Les français utilisent Twitter pour commenter leur émission TV ou radio

A ce jour, seuls 5% des français sont actifs sur le réseaux social Twitter. Parmi eux, 39% s’en servent pour commenter une émission de radio ou de télé (Résultat d’une étude menée par Aura Mundi).
Parmi ces 5% d’utilisateurs actifs, 14% ne font que suivre des gens sans tweeter et 17% cherchent à être visibles pour devenir des « influenceurs ». L’étude révèle également que 44% des Twittos estiment que le réseau social a changé la relation qu’ils entretiennent avec les médias. Enfin, 20% suivent et lisent régulièrement le compte d’une marque.

Ce que changent les campagnes universelles

Avant la mise en place des campagnes universelles sur Google Adwords, on affectait une campagne à un support particulier (ordinateur, tablette ou smartphone). Il est désormais possible d’affecter l’ensemble des campagnes à tous ces supports. Nous avons cependant toujours la possibilité de segmenter en définissant des enchères différentes en fonction du type de terminal, de la position géographique et du moment de la journée. L’intérêt étant de toucher le client à tout moment, où qu’il se trouve et quelque soit l’appareil qu’il utilise.
Le multiplicateur d’enchères est utile pour les personnes qui souhaitent mettre l’accent sur le mobile ou au contraire souhaitent l’évincer. En effet, il est désormais possible de miser entre -100% et +300% du CPC par défaut sur le terminal ordinateur.
De tels changements sont opérés afin de suivre l’évolution des usages, l’explosion du multiecran et d’inciter les annonceurs à investir sur le canal mobile.
Voici d’autres nouvelles fonctionnalités et extensions, encore en beta :
– L’outil « bid by distance » : permet de fixer son enchère en fonction de la distance entre l’utilisateur et le point de vente, en l’augmentant à mesure qu’il s’approche.
– L’outil « mobile prefer ads » : permet de déployer des annonces calibrées pour le mobile.
– L’outil « drive to store » : donne la possibilité de proposer l’itinéraire jusqu’au point de vente.
– L’outil « click to call » : un clic correspond à un appel de l’annonceur.
– L’outil « image in ads » : permet d’ajouter trois images au dessus de l’annonce textuelle pour ainsi lui donner plus d’impact.

Le comportement d’achat des internautes européens

Près de 60% des Européens qui utilisent Internet ont effectué un achat en ligne au cours des douze derniers mois, selon Eurostat (l’office statistique
de l’Union européenne). Un tiers des internautes a acheté des vêtements ou des voyages, alors que moins d’un internaute sur dix a commandé des produits alimentaires en ligne. Les Britanniques (82%), les Danois et les Suédois sont les Européens qui achètent le plus sur Internet, les Français se situant dans le haut de la fourchette: 69% des internautes achètent en ligne, plutôt des voyages (39%), des vêtements (38% contre 27% en 2008), des livres et magazines (23%) que de l’épicerie (8%).

Top 20 des sites les plus consultés en France en septembre 2013

Comscore a dressé le Top 20 des sites les plus consultés en France pour le mois de septembre. Sans surprise, le podium est toujours occupé par les sites de Google avec 44 millions de visiteurs uniques, Microsoft et Facebook (32 millions), mais ce sont les sites du groupe Vivendi qui réalisent la meilleure progression par rapport au mois précédent, avec une croissance de 14,8% et 16,347 millions de visiteurs uniques. Il faut noter également l’entrée dans le top 20 du groupe TF1 avec 12,327 millions de visiteurs, soit 10% de plus que le mois dernier. Chez les hébergeurs de vidéos, ce sont encore les sites de Google qui sont en tête, suivis de Videology et Dailymotion. Comscore observe par ailleurs que le nombre d’internautes est stable depuis août, à 47,7 millions.

Hummingbird alias colibri, la nouvelle mise à jour de Google

Cette nouvelle mise à jour n’a pas beaucoup été ressentie sur les positionnements des sites web c’est la raison pour laquelle elle est presque passée inaperçue.
Nommée hummingbird, colibri en français, cette nouvelle mise à jour a été pensée pour mieux répondre aux requêtes les plus complexes que les internautes sont de plus en plus nombreux à poser.

Voici ci-dessous un exemple de requête complexe : « payer ses factures avec la XXX Banque et la YYY Banque ». Auparavant, Google aurait naturellement fait remonter les pages d’accueil des sites de la XXX Banque et de la YYY Banque. Désormais, Google devrait privilégier au sein même de ces sites les pages dédiées au paiement de factures.
Le but est de faire en sorte que la requête soit mieux comprise dans son ensemble plutôt que chaque mot de façon isolée.
Voici un autre exemple : « quel est l’endroit le plus proche pour acheter un Iphone ». Auparavant, Google aurait fait remonter des pages contenant le mot clé « acheter » ou « Iphone ». Désormais, avec Colibri, Google devrait mieux comprendre la signification du mot « endroit » et donc faire remonter de meilleures réponses pour l’internaute.
On comprend donc que ces changements opérés par Google affectent davantage les requêtes de type longue traine. Peu d’impact donc sur les grosses requêtes concurrentielles qui génèrent plus de trafic.

Les nouveautés de Google Analytics

Google Analytics a mis en place une nouvelle segmentation. Celle-ci est centrée sur les visiteurs et non plus sur les visites.
Il est désormais possible d’analyser, par exemple, le segment de tous les visiteurs qui ont généré un Chiffre d’affaires de plus 100 euros, toutes visites confondues sur le site.
Ces nouveaux segments permettent également d’analyser des cohortes. En démographie, c’est une technique qui permet de rassembler un groupe d’individus ayant un ou plusieurs dénominateurs communs. Cela se traduit en analytics par, par exemple, l’analyse des clients qui ont visité le site pour la première fois à une période précise.
Les segments peuvent se baser aussi sur une suite d’actions définies sur le site. Cela permet donc de réaliser une segmentation dans le trafic des clients.
L’arrivée d’une nouvelle interface d’administration permet de faciliter la gestion des utilisateurs. La nouvelle interface est en 3 colonnes, chacune étant dépendante de la précédente : la colonne compte, propriété et vue.
Ajoutons à cela la possibilité d’avoir de nouveaux droits qui donnent plus de souplesse aux entreprises souhaitant ouvrir l’accès de l’outil aux employés :
– Lire et analyser
– Collaborer
– Modifier
– Gérer
Avec cet interface, vous retrouvez aussi un historique des modifications qui ont été effectuées, uniquement pour les utilisateurs détenant le droit de « modifier ».

Les français écoutent leur musique en ligne mais paient peu

Près de 80% des internautes français âgés de 15 à 45 ans écoutent de la musique en ligne, mais préfèrent des sites gratuits aux abonnements à des plates-formes spécialisées, selon le baromètre Orange/Terrafemina diffusé le 25 septembre par l’AFP. Le streaming domine: 67% des internautes en sont adeptes, contre 32% qui optent pour le téléchargement. Seuls 20% des répondants sont prêts à payer pour un abonnement à une plate-forme de streaming, comme Deezer, Spotify ou Google Play Music dont les abonnements mensuels coûtent environ 10 euros pour un accès illimité aux catalogues. Un gros tiers (37%) des sondés se disent prêts à payer pour télécharger quelques morceaux ponctuellement, et seuls 21% sont prêts à ouvrir leur portefeuille pour voir une retransmission de concert en ligne.

Bien référencer ses applis mobiles

Octave s’intéresse aujourd’hui à l’art et la manière de référencer ses applications mobiles quelles que soient les boutiques d’applications concernées. Il faut penser ASO (AppStore Optimization). Il s’agit des techniques pour optimiser la visibilité et les téléchargements dans les boutiques d’applications.
Pour commencer, voici un aperçu des critères qui importent en fonction des boutiques :
AppStore
– Le nombre de téléchargements
– Le choix des mots clés
– Le titre de l’application et le nom du publisher
– Le nombre de téléchargement durant une période donnée
– Le nombre d’avis, les notes
– La date de dernière update
Play Store
– Le nombre de votes (et note globale)
– Le taux d’installation de l’application
– Le taux de désinstallation de l’application
– Le taux de croissance de téléchargement
– La continuité de la croissance des téléchargements
– Les statistiques sur l’usage de l’application
Octave met en avant quelques techniques qui peuvent aider à inciter au téléchargement de votre application :
– Rémunérer les testeurs qui auront installé l’application.
– Solliciter les sites et les newsletters spécialisés qui relaient chaque jour les nouvelles applications et promotions.
– Ne pas négliger le SEO. Optimiser ses mots clés dans le nom de l’application, le nom du publisher, la description et le champ « keywords ». En effet, plus de la moitié des recherches d’applications se font via les pages de recherche. Le SEO est un complément à l’ASO.
– Effectuer des mises à jour fréquentes pour communiquer, améliorer l’application et modifier l’ASO.
– Optimiser la vignette en termes de design et d’ergonomie, la rendre la plus attractive possible visuellement.