Viva Technology 2016

La première édition du salon Viva Technology s’est achevée ce samedi. Toujours à l’affût de nouveautés technologiques, nous sommes allées y faire un tour !

Et le moins que l’on puisse dire, c’est que ce salon a tenu toutes ses promesses. Des grandes entreprises aux start-up, le choix était vaste. De nombreuses innovations ont été présentées : du bar à maquillage virtuel de l’Oréal, aux semelles intelligentes, en passant par la Google cardboard ou le Sensorwake, difficile de n’en choisir qu’une ! Pourtant s’il fallait n’en sélectionner qu’une seule, voici celle qui a eu notre préférence : le distributeur d’histoires courtes de Short Edition.

Il s’agit comme son nom l’indique d’un distributeur d’histoires courtes pour vous faire patienter lorsque vous attendez dans des lieux comme les transports en commun ou les centres commerciaux.

Ce générateur vous permet de choisir entre trois options de temps de lecture, et selon votre choix vous obtiendrez donc une histoire qui se lit en 1 minute, 3 minutes ou 5 minutes.

Les histoires sont générées aléatoirement parmi une base de 10 000 histoires possibles, il est donc peu probable que vous tombiez deux fois sur la même histoire en appuyant plusieurs fois de suite sur le bouton.

La technologie mise en oeuvre n’est peut-être pas aussi impressionnante que pour d’autres inventions présentées sur le salon, mais c’est surtout le concept qui nous a séduites, et le côté original et poétique de l’idée de départ.

Présente pour l’instant au centre commercial Italie 2 et à la gare d’Austerlitz en région parisienne, chez Octave nous espérons que cette nouvelle invention sera appelée à se généraliser sur toute la France !

Retour en images sur le salon

 

La couleur de l’année 2016 est…

Une fois n’est pas coutume, cette année Pantone a choisi de désigner 2 couleurs au lieu d’une comme couleur de l’année 2016.

Les heureuses gagnantes sont donc : Rose Quartz et Serenity, un couple de couleurs harmonieux et complémentaire.

pantone 2016

Rose Quartz évoque à la fois douceur et détermination tandis que Serenity procure un sentiment de réconfort et d’apaisement.

Mais d’ailleurs qu’est-ce que la couleur de l’année exactement ?

L’annonce de la couleur de l’année a commencé en 2000, lors de la foire d’art contemporain Miami Art Basel, grâce à l’initiative de sa directrice.

Cette annonce est devenue depuis un excellent exemple d’événement marketing.

Cette année la marque Pantone a donc choisi le rose Quartz et le bleu Serenity  car elles représentent la recherche de bien-être, et sont un bon antidote au stress par leur aspect apaisant. Deux thématiques au coeur des préoccupations des consommateurs pour 2016.

En effet ces couleurs ne sont pas sans rappeler la layette pour bébé, peut-être inciteront-elles les consommateurs français à faire remonter le taux de natalité après la baisse de l’année 2015 😉

En tout cas les couleurs rassurantes seront tendances en 2016, rose Quartz et Serenity seront donc les couleurs qui inspireront mode, beauté et décoration cette année, nous verrons donc l’année 2016 en rose et bleu, alors à vos pinceaux, prêts, partez !

Source : http://www.lsa-conso.fr/pantone-choisit-deux-couleurs-pour-l-annee-2016,226914

Et le bad buzz du mois revient à ….

La marque SuperGurl à Singapour s’est retrouvée récemment au coeur d’une polémique à cause de sa nouvelle campagne liée au Black Friday. Un bad buzz dont la marque se serait sûrement bien passé. En effet au lieu d’utiliser le traditionnel « Shop Us Now » en référence aux bas prix proposés pour le Black Friday, la marque a utilisé l’expression « Rape Us Now ». Une blague sur le viol d’un très mauvais goût que les consommatrices n’ont bien sur pas apprécié.

Pour en savoir plus sur ce bad buzz : http://www.ladn.eu/actualites/quand-marque-blague-sur-viol-pour-black-friday,article,29025.html

supergurl

2,2 millions d’adeptes quotidiens du replay

2,2 millions de personnes regardent chaque jour un programme de télévision en replay, selon Médiamétrie, soit 22% de plus qu’à la fin de l’année 2013. Le téléviseur reste l’écran-roi pour la catch-up TV. Ainsi, au cours d’une journée, 1,3 million de personnes ont regardé un programme de rattrapage sur téléviseur, 750 000 sur ordinateur et 340 000 sur tablette ou téléphone mobile. «Cela s’explique notamment par l’augmentation de la réception de télévision par ADSL», avance Médiamétrie. Toutefois, les 15-24 ans continuent de préférer l’ordinateur pour regarder les programmes en replay.

Les sites de replay sont donc de bonnes pistes pour toucher une cible encline à la consommation.

La presse reste un média puissant…

Suite à l’étude One et One Global, publié par Audipresse jeudi 25 septembre dernier, nous apprenons que 49,7 millions de français continuent à lire la presse française chaque mois ce qui représente 97% de la population.
En moyenne, les français continuent à lire 6 titres différents, 1,3 quotidiens et 4,7 magazines. Un quart des français lit chaque jour au moins un titre de presse, avec 41% à lire au moins un quotidien, 49% au moins un magazine. A noter que les personnes qui lisent la presse sur support numérique (18% de la population française) restent également consommateurs de presse papier.

Voici ci-dessous un aperçu des 20 premières marques de presse en France :

Ces quelques chiffres dénotent du poids de la presse dans les usages des français qui continuent de la lire avec grand intérêt malgré l’explosion du numérique.

La presse est donc un média à ne pas négliger dans vos médiaplannings.

Le marché de l’e-pub en 2018

En 2013, le marché de l’e-publicité représentait 12,8% des dépenses publicitaires, selon l’étude «Le Marché du marketing direct» de Xerfi-Precepta. Et la croissance enregistrée ces dernières année devrait se poursuivre. Si l’enquête estime que les segments hors ligne reculeront de 1,3% en moyenne d’ici 2018, la publicité en ligne devrait bondir de 21,2%. Selon les prévisions de cette étude, le marché de l’e-publicité croîtrait à un rythme annuel moyen de 3,8% entre 2014 et 2018, pour atteindre 5 milliards d’euros à cette échéance.

Quel avenir pour le reciblage publicitaire?

Avec l’explosion de la data, le reciblage publicitaire (ou «retargeting») s’impose petit à petit comme une importante tactique mercatique. Une étude
réalisée par la société My Things, spécialisée en publicité personnalisée, révèle que les publicitaires sont 32% à vouloir augmenter leur budget dans ces bannières dynamiques personnalisées. Pour 40% d’entre eux, elles s’articulent en fonction de la demande des consommateurs existants alors que 35% l’emploient pour en attirer de nouveaux. Des dispositifs qui se calent de plus en plus avec les usages actuels: 45% comptent investir le support mobile (21% y sont déjà présents) et 75% usent déjà du retargeting sur Facebook (contre 14% sur Twitter).

La force de l’e-marketing

Pour la cinquième année consécutive, l’agence Dolist, spécialisée dans l’e-mail et le data marketing, publie les résultats de son baromètre «Pratiques & Tendances de l’e-mail marketing en France». L’étude atteste la bonne tenue de ce dernier, fort d’un retour sur investissement accru (pour 44% des professionnels) et au cœur de budgets en hausse (+10%). Dans le B to B, 78% des professionnels jugent capital de différencier les communications selon la cible. Ils sont 38% de plus à y procéder en un an. Dans le B to C, la tendance est à l’automatisation des communications personnalisées grâce à l’exploitation des données, fortement soutenue par 67% des professionnels.